Le "Calypso" de Gerard Gauvin
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Com este post inauguramos uma fase em que aqueles post que sejam muito longos, surgirão na língua do país de onde a peça ou peças expostas são originárias. As traduções nas outras 5 línguas, surgirão por ligação a páginas, apenas visíveis quando se clicar na bandeira da respectiva língua. Com 5 traduções complexas pela sua extenção, pedimos cooperação se detectarem algo errado., (especialmente em Alemão) usaremos um novo sistema.
With this post we inaugurate a phase in which the posts could be very long, in just one language. So, with 5 translations, (for which we ask for cooperation if they detect something wrong, especially in German) we will use a new system. The Post will be published in the author's language, but there will be the possibility of reading it in German, Spanish, English, Italian and, of course, Portuguese, by clicking on the flags of the respective languages, which precede this explanation.
Con este post inauguramos una fase en que los post podrían ser muy largos, en un solo idioma. Entonces, con 5 traducciones, (para las cuales pedimos cooperación si detectan algún problema, especialmente en alemán) usaremos un nuevo sistema. El Post se publicará en el idioma del autor, pero habrá la posibilidad de leerlo en alemán, español, inglés, italiano y, por supuesto, portugués, haciendo clic en las banderas de los respectivos idiomas, que preceden a esta explicación.
Con questo post inauguriamo una fase in cui il posts potrebbero essere molto lunghe, in una sola lingua. Quindi, con 5 traduzioni (per le quali chiediamo collaborazione se rilevano qualcosa di sbagliato, soprattutto in tedesco) utilizzeremo un nuovo sistema. Il Post sarà pubblicato nella lingua dell'autore, ma ci sarà la possibilità di leggerlo in tedesco, spagnolo, inglese, italiano e, ovviamente, portoghese, cliccando sulle bandierine delle rispettive lingue, che precedono questa spiegazione.
Mit diesem Beitrag leiten wir eine Phase ein, in der sie sehr lang sein können, und zwar in nur einer Sprache. Also werden wir bei 5 Übersetzungen (bei denen wir um Zusammenarbeit bitten, wenn etwas nicht stimmt, insbesondere im Deutschen) ein neues System verwenden. Der Beitrag wird in der Sprache des Autors veröffentlicht, es besteht jedoch die Möglichkeit, ihn auf Deutsch, Spanisch, Englisch, Italienisch und natürlich Portugiesisch zu lesen, indem Sie auf die Flaggen der jeweiligen Sprachen klicken, die dieser Erklärung vorangestellt sind.
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La
Calypso
Un peu d'Histoire
A l’origine c’était un
dragueur de mine dont la construction
commença le 12 août 1941 dans les chantiers maritimes de la BMRC (Ballard. Marine.
Railways. Compagny) au port de Seattle aux Etas Unis.
Il fit partie des 561 navires commandés par la Marine Britannique au début de la seconde guerre mondiale, fut baptisé sous le premier numéro d’immatriculation BYMS 26 (British yard Minesweepers) et rejoignit la Royal Navy le 20 aout 1942. Ce dragueur était basé dans le port de Tarente à Naples (Italie) et fut désarmé en 1946. Après la seconde guerre mondiale, il assura un service de ferry entre Malte et l’ile de Gozo et fut rebaptisé du nom de Calypso, dont l’ile mythologique d’Ogygie était associée à Gozo. Le Commandant Jacques Yves Cousteau de retour en France après s’être exilé avec sa famille dans les années 1920 aux Etats Unis intégra en 1930 l’école navale Française à bord du navire école la Jeanne D’Arc pour y faire ses armes d’officier et apprit le rude métier de la navigation en participant à de nombreux faits de guerre. Le Commandant Cousteau devint le propriétaire du bateau en 1950 suite à des rencontres et interventions d’honorables personnes pour la somme symbolique de un franc par an pour mener à bien son projet de le transformer en navire Océanographique. Après 9 mois dans les chantiers navals d’Antibes il en ressort en 1951 avec un équipement technique moderne digne de ce nom pour ses recherches.
Le navire mesure 42 mètres de long pour 7,47 au maître-bau. Ses 402 tonnes sont propulsés par deux moteurs diesel de 600 chevaux pour lui permettre d’atteindre une vitesse maximum de 13 nœuds. Il est équipé d’un grand nombre d’installations spéciales permettant d’effectuer ses recherches ainsi que les films et photographies. Désormais son port d’attache est à Toulon et son voyage inaugural a lieu vers la mer rouge et la méditerranée. Depuis il a réalisé d’innombrables expériences sur le monde sous marin et ce, sur toute la surface du globe avec son fils et toute son équipe. Le scaphandre autonome est l’une de ses plus célèbres inventions parmi tant d’autre...Je ne veux surtout pas rentrer dans les jugements de la saga familiale, les polémiques judiciaires qui déchirent certainement l’âme du Commandant. L’incompétence des autorités concernées qui ont préféré l’indifférence à la restauration de ce patrimoine Français J’ai opté pour la sagesse et pour mon souvenir d’enfance de l’avoir vu dans le port de Toulon en l’enfermant dans une bouteille tel qu’il était dans ses années de gloire et ainsi le protéger virtuellement de sa triste fin.
Construction
J’ai choisi l’échelle 1/200 m’autorisant à de nombreux détails, le bateau sera donc de 21 cm de long et 4 cm environ de large.
La bouteille de 3 litres mesure 43 cm de longueur: (30 cm de corps et 13 cm de col), et a la particularité d’être pourvue de 3 faces légèrement bombées de 12 cm de coté chacune lui assurant une bonne stabilité lorsqu’elle est posée sur le plan de travail. Le goulot offre une ouverture de 2,8cm de diamètre. Il faudra prévoir des longerons transversaux pour supporter la mer qui elle-même sera fabriquée en bois. Armé d’un plan de profil, face, dessus du navire glané sur les sites internet.
Je l’importe sur mon logiciel de dessin et j’ajuste ses proportions sur un calque numériquement millimétré pour les mettre aux mesures préalablement prises à l’intérieur de la bouteille. L’espace /volume du diorama ne laisse aucune place au hasard, tout doit être scrupuleusement étudié en amont. Je peux désormais imprimer le plan et je commence par tracer les deux demi-coques vu de dessus de 2 cm de largeur sur une planche de samba d’une épaisseur de 1cm.
Je me sers du bord de la planche comme ligne de repère. Découpés, les deux morceaux sont assemblés par des tenons. Je vérifie le bon démontage et laisse les chevilles collées sur un coté et les trous correspondant sur l’autre. Le traçage des deux demi ponts sera identique à la coque, mais ils seront découpés dans une planche de contre plaqué de 2mm d’épaisseur. Ajustés et collés sur les coques, ils assurent une bonne rigidité. Je dispose l’élément central faisant office de lieu de vie et le bloc de la proue, eux aussi seront coupés en deux dans le sens longitudinal et collés sur l’ensemble. Ils sont recouverts avec un ctp de 2mm d’épaisseur.
Toutes les pièces sont chevillées pour un montage aisé. Je trace les pavois tribord et bâbord sur un carton type Canson, les présente sur les flancs de la coque et les ajuste à la courbure, puis je les réserve pour plus tard.
Je mesure l’ecartement des barreaux des coursives et fais une petite entaille sur le bord du pont superieur et inferieur. Je découpe chaque colonne dans une tige de corde à piano de 0,5mm de diamètre que je colle à leur emplacement. Je fixe les pavois en prenant soin de ne coller que la partie supérieure et lui laissant un depassement de 3mm sur le flanc de la coque. Le but étant de cacher les jointures coque-pont entre elles.
Il est temps de recouvrir les ponts avec un bristol uni blanc qui sera préalablement tracé d’un plancher avec un crayon à papier fin et dur pour éviter les bavures, les préceintes de pavois et les plats bords sont collés à leur place respective.
A l’aide du plan je confectionne la cabine avant et l’arrière en bois, les habille de papier canson, et dessine les fenêtres, portes d’accés, hublots et plancher.
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